Selon un communiqué gouvernemental, les nouveaux outils sont « majoritairement » basés à Newcastle et Strathclyde. Ils peuvent être utilisés pour divers processus, « notamment le « découpage » de tranches de silicium en puces plus petites et la liaison de matériaux complexes entre eux pour fabriquer des puces.

La majeure partie du financement, 14 millions de livres, est réservée aux semi-conducteurs utilisés dans « l’électronique de puissance ». Cela inclut également les voitures électriques, car l’électronique de puissance est une application « dans laquelle les puces convertissent et contrôlent l’énergie dans des machines à forte consommation d’énergie ». L’objectif est d’aider les fabricants à améliorer leurs technologies et à automatiser les processus d’assemblage.

Le financement fait partie de la stratégie du pays en matière de semi-conducteurs, « qui a identifié de nouvelles façons de conditionner et de tester les puces comme un domaine clé pour améliorer les performances des semi-conducteurs ».

« Les nouvelles innovations dans la manière dont nous emballons les semi-conducteurs ont le potentiel de transformer des industries entières et d’améliorer considérablement les appareils grand public, tout en stimulant la croissance économique à long terme », a déclaré le ministre de la Technologie, Saqib Bhatti. «Cet investissement dans la technologie en libre accès garantira aux chercheurs britanniques les outils dont ils ont besoin pour transformer rapidement la science des semi-conducteurs en réalité commerciale, tout en rendant plus durables les secteurs à forte consommation énergétique.»

Il existe déjà un « réseau existant de machines ouvertes aux chercheurs et aux entreprises à travers le Royaume-Uni à travers les centres industriels de conduite de la révolution électrique (DER-IC) », indique le communiqué de presse. Ce dernier avait été financé à hauteur de 33 millions de livres en 2019.

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